) a dit:| Dans le film le personnage de Gael Garcia Bernal parle d'objets en feutres au grosses coutures apparentes, des objets à l'air fragile, doux et amicaux. Clairement le film de Gondry est un de ces objets. Il y a quelque chose de complètement amateur, mal fini et à la fois touchant à cause de cela. C'est assez étonnant de voir la "déflation" par rapport à Eternal Sunshine. Retour en france, diminution du budget, effets majoritairement mécaniques ou d'animation en image par image fait dans son studio. On imagine assez volontiers Gondry avoir été exténué, oppressé par la grosse machine qu'était Eternal Sunshine et qu'avec La science des rêves il retourne vers quelque chose à son échelle, à échelle humaine. NB: J'hésiterai presque à mettre 3 étoiles pour le combo Charlotte Gainsbourg + Emma De Caunes! |