) a dit:| Vraiment classe, très didactique, dans la grande tradition de vulgarisation scientifique anglo-saxonne. A ce niveau, comme d'habitude, grosse maîtrise du syllogisme narratif. Hormis la question des changements climatiques, réflexion intéressante sur la démarche (ici itérative) qui permet de livrer le message. Dans une parfaite compréhension de la culture US, les enjeux sont ramenés au destin tragique (public et privé) d'un individu masculin, seule focalisation à même se susciter l'empathie. Al Gore, le global Man technologique. Autrement, le point aveugle de ce plaidoyer reste à mon sens un profond aveu d'échec politique. Al Gore a été vice-président des Etats-Unis pendant plusieurs années, une période de prospérité économique considérable qui plus est, et n'est pas parvenu à infléchir la politique environnementale américaine de manière significative. Troubling, isn't it?!? |
) a dit:| Al Gore is the ultimate showman. Ce qui m'a beaucouip plu c'est que le film n'oppose pas bêtement nature et civilisation (comme un vulgaire Mel Gibson), et propose une vision positive de la science et de la technologie. De même, la manière dont Gore se met en scène en temps qu'homme politique et citoyen donne un film assez passionnant qui dépasse le simple pamphlet écologique. Cet engagement fait que le film peut à la fin faire appel aux grands hommes de la nation sans paraître ridicule. La fin a même un côté lyrisme capraesque appelant à un New Deal écologique. |
) a dit:| En attendant le film sur le problème de la déforestation de l'Ile de Ré par Lionel Jospin… |