) a dit:| Bien, sans plus. J'ai été surtout gêné par la différence de qualité d'écriture entre le duo Creed et le duo Drago. Ces derniers auraient vraiment pu faire l'objet d'une caractérisation moins pachydermique, qui tienne compte du temps passé mais aussi du capital sympathie accumulé par Dolph Lundgren depuis ses premiers rôles aux USA (voir la présence de l'acteur suédois dans le récent Aquaman). Mais autrement, ça se tient plutôt bien. |
) a dit:| Je suis complètement d'accord pour les Drago, qu'on aurait vraiment pu humaniser plus (c'est le cas, à la toute fin, et c'est trop tard). Belle idée néanmoins que de faire revenir ce personnage (et Brigitte Nielsen, même si elle fait PEUR!) Je ne savais pas, et ça m'a tellement motivé de l'apprendre au tout début du film! Je n'ai par contre pas beaucoup apprécié le reste du film, prévisible et beaucoup trop centré sur la (petite) psychologie de couple (qui s'ajoute à toute la soupe autour du trauma vis-à-vis du père – ici réparti sur, attendez je compte : 1 Apollo et son fils, 2 Rocky et son fils, 3 Drago et son fils, 4 l'entraîneur d'Apollo et son fils l'entraîneur du fils d'Apollo – joué par le chef de bande de The Wire, celui dont Idris Elba est l'intendant en chef –, QUATRE personnages différents?????) La grande scène d'entraînement en montage "fréquentatif" est la plus faible de toute la franchise. Par contre le combat final n'est pas complètement indigne, d'une part par sa conduite qui met en jeu quelques enjeux techniques de boxe (encore trop peu, mais il y a un effort!) d'autre part et surtout, par le fait qu'il intègre bien, par bribes, les rappels soudains du fameux thème de Bill Conti! Dernière chose : je viens de voir deux films hollywoodiens de suite où un Noir bourgeois, intelligent, bien bâti et élégant se fait coacher in life par un Rital prolo caricatural vieillissant avec du bide. Signe des temps? |