La forme fait bien sûr beaucoup penser aux Histoires du cinéma, mais à la différence de celles-ci qui traitaient des grandes histoires, on est ici dans un récit à la première personne sur son histoire intime et celle de son cinéma. Version forcément plus modeste dans sa durée, son aboutissement formel et l'ampleur de son propos vu que Carax y a consacré 1-2 années et non 15 comme JLG, mais non moins réussie. Et la spéciale dédicace à Annette vaut bien sûr largement le détour. |