Mais n'est-ce pas une tendance du cinéma américain d'avoir de la peine à se projeter dans la puissance dominante et envahissante, et à toujours préférer la figure du groupe résistant au siège: Fort Alamo, les 300, et donc ici le tank américain perdu derrière les lignes allemandes? Autrement un film un peu balourd, assez dégueulasse dans sa représentation de la violence, trop long et sentencieux. SVC ne peut s'empêcher de penser au film qu'auraient fait Anthony Mann ou Samuel Fuller avec le même matériel! |