2,5: l'envie de voir du cinéma gore sur grand écran m'a fait céder à la VF. Je ne l'ai pas regretté (même si le doublage donne un côté risible par moment), car le bien dégueulasse est au rendez-vous. A part ça, je n'ai pas le temps de développer, mais c'est toujours assez amusant de voir combien ce cinéma en grande partie dévolu à la répression d'une sexualité féminine "incontrôlable" ne peut s'empêcher de trahir les potentialités déstabilisatrices considérables que cette sexualité recèle aux yeux d'un imaginaire androcentriste. |