Le fantasme du néant flaubertien dans une certaine élite romaine. Les meilleurs moments (formellement et/ou narrativement) sont très bons, mais Sorrentino n'arrive pas à les enchaîner. Du coup le soufflé gonfle et dégonfle... c'est pas Marienbad quoi. |
2,5 C'est vrai que c'est inégal et un peu long, je pousse à trois pour les séances réussies et pour Toni Servillo. |
d'accord avec vous certaines scènes, notamment les centrales avec Ramona, me feraient personnellement presque pousser à quatre tant elles m'ont ému comparaison intéressante avec Marienbad tant celle qui vient évidemment à l'esprit est la Dolce Vita le film n'est pas du niveau de ces deux chef d’œuvres mais saluons quand même la grande ambition et beauté de l'entreprise |