Film: La Venus à la fourrure

Robert () a dit:
ceux qui ont une aversion pour Seigner et/ou Amalric passeront bien entendu leur chemin

drôle, truculent, ironique, réflexif mais au final je suis resté un peu sur ma faim...peut-être que le tout est un peu trop surligné

aussi je me rends compte que je préfère souvent les films d'extérieur de Polanski à ses huis clos


Charles-Antoine () a dit:
Assez épatant je dois dire.

C'est un détail, mais Amalric ressemble tellement à Polanski dans les années 1970 que je n'arrivais pas parfois à faire la différence.

A part ça, un film qui mélange autant des questions liées à la scène, avec un usage aussi intempestif de Wagner, ne peut que trouver une place de choix dans le palmarès de Lolo.


Robert () a dit:
Ce qui est paradoxale quand même par rapport à cette ressemblance (je rajoutera aussi la ressemblance au niveau de l'habillement du Polanski d'aujourd'hui) c'est que, d'après ce que j'ai lu dans l'interview du Monde, le réalisateur se distancie totalement du personnage joué par Amalric et de ses obsessions...