C'est le film le plus paresseux des trois (surtout le dernier quart), mais ça reste assez réussi quand même, notamment tout le début. En insistant sur la nécessité d'une recomposition culturelle constante (dans sa version ultra bobo, on s'entend), en partant de l'ouverture de la France à l'Europe, Klapisch sera vraiment parvenu à capter quelque chose avec cette série. |