Les premières saisons sont très "teenage", un peu trop pour moi. Mais dès lors que le grand méchant est obligé de devenir bienveillant à cause d'une puce électronique implantée dans sa tête... là, la série devient une réflexion pop et critique sur la morale, sur les rapports de force, sur les genres, sur l'ivresse du pouvoir, sur l'héroïsme... Bref, elle se situe soudain à un autre niveau. Et certains épisodes sont hyper inventifs – comme celui où un démon a le pouvoir d'obliger tout le monde à chanter, ce qui a pour conséquence que toute scène se transforme en comédie musicale... |